Écoutes de "Cahier Biologiques : une partition" – Gilles Amalvi
défile appuyée pour cela tant pli à soi des lignes creuses
inédite bouches éloignées suis poisson pas moins soudaine comme flux
mes ongles à jamais emportent au visible du monde si du soleil votre effet
sans cesse là d’images un silence vertige contre timbre d’elle
pas à pas ouvre le chant soulevant nos questions à venir
retourne et glisse du personnage le dépôt ni le jour passe d’une seconde
leurs ailes advenues dehors que clapotis peu moteurs dans sa lutte
va l’épaule nue pour force de pierre seul animal ça mange organique
quelqu’un vole aux limites ne suis : fragment relatif comme plein de vous
au temps des qui-cri à pli plats je ne sais l’absolu évanouisse où chercher
les masses en attendant
minuscules frappent du bec la vitre machine puis sec comme fond d’eau
ce que manifestent nos gestes d’une seconde dedans filent insectes et codes
mesures à voir hors cadre comme un chant si hors ne dépend
à l’origine ni disparus et remplacés que papillons sa tombe errante
des vers troubles que l’on tire toque de nuit rien omis en ce temps
les vois incessants à pourquoi l’origine ?
rien ne se souviendra
comme
en nous
les
si encore
maintenant
car à l’
c’est peut-être pour cela
du fait de leur place
le est une
le est un
l’
en continu
suis l’ de
suis une
suis à l’ d’un
toujours
par la
de temps à autre