mais si les noms s'effacent les dieux disparaissent-ils aussi et les hommes n'y aura-t-il plus alors que ce chaos qui serre& desserre le
poumon des quartiers qui s'échangent les informations
(les mots faisaient un revêtement se collaient sur la peau jusqu'à la pénétrer et creuser les craquelures d' une plaine sans eau désert
les fissures refermaient le corps bouclait plein)
bientôt ça ne passera plus
dans la ville de béton & plastique que nous avons suée & usée qui a mangé les hommes pour les offrir à des images en renversant la création :
dans son enveloppe de pétrole la terre est de nouveau pareille à une flaque d' huile & qui flotte à la surface de rien